France, le 24 mai 2010. Nous étions un peu inquiet pour les deux joueurs, Federer et Luczak, un match commençant vers midi... Roland Garros était comparable au "Chaudron" stéphanois à la belle époque des Verts. Sur la terre ocre de Roland Garros, nous n'enviâmes pas les joueurs, pour cause de chaleur. Tranquillement, assis devant la poste TV, nous eûmes à peine le temps, de finir la salade de cervelas "made in Switzerland", nous le précisons car ici on n'en vend pas Monsieur, on n'en vend pas, que le premier set était fini... 6-4. Un scénario connu car Federer a pour habitude de nous surprendre en bien, en mal, lors de ses premiers sets. Roger même en manque de résultats sur terre battue, ne perdait pas son latin, son arpitan, son tennis, contre le respectable joueur australien Peter Luczak... Respectable, mais aujourd'hui, il n'était pas suffisamment en forme pour inquiéter le Bâlois, il est vrai qu'à l'instar de Roger, Peter Luczak, est plus à l'aise sur surfaces rapides. Le résultats vous le connaissez 6-4, 6-1, 6-2. et son prochain adversaire, le Colombien Alejandro Falla, aussi.