Le débat sur l'euthanasie est un vieux débat philosophique. Il y a eu sans prendre parti des travaux très sérieux faits sur ce sujet délicat dans le Canton de Vaud.
Alors que le Conseil fédéral doit faire une loi sur le suicide assisté et l'euthanasie, une majorité de Suisse serait contre l'abolition du suicide assisté. Les propositions du C.F. soulèvent déjà des oppositions car les médecins et les patients y voient beaucoup d'inconvénients comme le souligne le journal 24 heures : « Les experts ainsi que les médecins sont opposés à une interdiction et 75% de la population se rangent à la pratique prévalant en Suisse depuis 1942, a fait valoir Exit devant la presse. Ne plus autoriser l'assistance au suicide poserait de graves problèmes. Les proches du malade, sous le coup de l'émotion, et des médecins sans formation pratiqueraient illégalement l'euthanasie, avec toutes les complications que cela implique pour la personne concernée : crampes, vomissements, lente agonie, séquelles sérieuses au cerveau.
Une pratique restrictive n'est pas meilleure. Aider un malade à passer de vie à trépas que lorsque la mort est toute proche et certaine reviendrait à forcer les personnes souffrant de sclérose en plaques ou d'Alzheimer ainsi que les tétraplégiques à continuer de vivre.Quant à fixer des délais avant l'assistance au suicide, cela impliquerait de laisser s'étouffer les malades souffrant d'un cancer des poumons et mourir dans la douleur ceux victimes d'un cancer de l'estomac ou du colon à mourir, affirme Exit ».
Aussi complexe que soit le sujet, il existe en Europe deux pays qui sont à l’avant-garde de l’euthanasie : Les Pays-Bas et la Belgique…
Alors que le Conseil fédéral doit faire une loi sur le suicide assisté et l'euthanasie, une majorité de Suisse serait contre l'abolition du suicide assisté. Les propositions du C.F. soulèvent déjà des oppositions car les médecins et les patients y voient beaucoup d'inconvénients comme le souligne le journal 24 heures : « Les experts ainsi que les médecins sont opposés à une interdiction et 75% de la population se rangent à la pratique prévalant en Suisse depuis 1942, a fait valoir Exit devant la presse. Ne plus autoriser l'assistance au suicide poserait de graves problèmes. Les proches du malade, sous le coup de l'émotion, et des médecins sans formation pratiqueraient illégalement l'euthanasie, avec toutes les complications que cela implique pour la personne concernée : crampes, vomissements, lente agonie, séquelles sérieuses au cerveau.
Une pratique restrictive n'est pas meilleure. Aider un malade à passer de vie à trépas que lorsque la mort est toute proche et certaine reviendrait à forcer les personnes souffrant de sclérose en plaques ou d'Alzheimer ainsi que les tétraplégiques à continuer de vivre.Quant à fixer des délais avant l'assistance au suicide, cela impliquerait de laisser s'étouffer les malades souffrant d'un cancer des poumons et mourir dans la douleur ceux victimes d'un cancer de l'estomac ou du colon à mourir, affirme Exit ».
Aussi complexe que soit le sujet, il existe en Europe deux pays qui sont à l’avant-garde de l’euthanasie : Les Pays-Bas et la Belgique…